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"Être le capitaine de son propre navire de santé est la clé

pour surmonter les tempêtes de la maladie."
Hippocrate

Qui suis-je ? (Alina Onesim)
Qui suis-je ? (Alina Onesim)

Qui suis-je ?

Ancienne malade de Lyme chronique et d’endométriose, j’ai réussi à guérir grâce aux plantes

Je suis Alina Onesim, naturopathe

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spécialiste de la maladie de Lyme et de l'endométriose

Mon parcours en tant que malade

Mon Lyme et mon endométriose

Après avoir connu plusieurs épisodes de choc émotionnel et physique dans ma vie privée, j’ai commencé à développer des symptômes de douleurs pelviennes atroces à chaque cycle menstruel. Je me suis retrouvée quasiment tous les mois, entre mes 24 et mes 32 ans, aux urgences de l’hôpital quand je pouvais m’y rendre par moi-même, ou transportée par les brancardiers qui se rendaient chez moi, lorsque les douleurs me rendaient complètement hors service.

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A chaque fois j’entendais les mêmes retours de la part du personnel médical : « tout va bien, vos analyses sont bonnes » ou « prenez du Paracetamol, et si ça ne suffit pas, un anti-inflammatoire, ça va finir par passer » ou encore « c’est normal d’avoir mal quand on a ses règles ». Je pensais donc que je devais prendre mon mal en patience. On avait fini par me convaincre que c’était normal que je souffre, et j’espérais juste tous les mois que le jour fatidique, la douleur serait supportable.

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Mes douleurs se sont intensifiées après avoir mis au monde mes enfants. Les douleurs qui se cantonnaient avant à la zone pelvienne et qui duraient 3 jours, ont commencé petit à petit à déborder sur quasiment tout le mois, au gré de mon cycle qui devenait plus anarchique avec l’arrivée de la pré-ménopause.

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Puis, petit à petit tout mon corps, tous mes systèmes et tous mes organes ont commencé à devenir douloureux...

Dans l’ordre de l’arrivée des symptômes : des vertiges, un état de brouillard cérébral qui m’empêche de trouver mes mots tout en étant consciente de mon déficit langagier, des douleurs articulaires au niveau des hanches, dépression et anxiété : je fais des cauchemars toutes les nuits… Puis, suite au déménagement de maison en appartement (précision dont vous comprendrez l’importance plus loin), mon état se dégrade encore : ma tête me paraît si lourde, elle n’est plus supportée par ma colonne vertébrale : je dois m’appuyer sur le mobilier de la cuisine pour pouvoir faire la vaisselle ou la cuisine, je dois m’appuyer sur les murs pour avancer, car mes vertiges m’empêchent d’aller droit, mes lombaires et mes sacro-iliaques me font si mal que je n’arrive plus à porter les courses. J’ai des douleurs lancinantes qui partent du dos vers la cuisse : je pense avoir une sciatique. Le énième rhumatologue que je vois depuis le début de mes symptômes me met sous anti-inflammatoires, que je ne supporte pas et que j’arrête au bout de deux prises.

 

Mon état continue à se dégrader : mes jambes ne sont qu’une douleur, des orteils jusqu’en haut des cuisses. La nuit elles m’empêchent de dormir, j’ai tellement mal que  je ne peux pas rester allongée : la seule chose qui me soulage c’est de marcher.

 

Puis, presqu’en même temps arrivent des douleurs terribles au bras gauche, au niveau des muscles : je ressens comme des coups de poignard qui me sont plantés de façon continue, dans le bras, avec des décharges électriques et une sensation de chaleur : les muscles de mon bras s’atrophient de semaine en semaine.

 

Des excroissances osseuses au-dessus du poignet de la main gauche, puis au-dessus de la main droite arrivent à quelques semaines d’intervalle. C’est extrêmement douloureux et je dois mettre des attelles des deux côtés pour pouvoir vaquer à mes occupations familiales. Elles sont toujours là, aujourd’hui, mais elles ne me font plus mal.

 

Je commence aussi à avoir des intolérances alimentaires que je n’avais pas avant : je ne digère plus le gluten, les graisses et les produits laitiers. Puis, dans une deuxième phase, plus rien ne passe : mon estomac ne supporte plus le moindre aliment, qu’il soit cru ou cuit. Je dois accepter d’avoir mal en permanence pour ne pas dépérir par inanition. Je perds malgré tout 7 kilos en 4 mois.

 

Les semaines suivantes mon corps va connaître aussi des problématiques gynécologiques, urinaires et dermatologiques, que les traitements allopathiques prescrits par les médecins vont faire flamber encore plus et que je dois arrêter.

 

Puis, un soir, sans crier gare, mes yeux se mettent à ne plus voir : je perds l’équilibre et à partir de là pendant plusieurs mois mes yeux seront brûlants et la vision troublée.

 

Au hasard d’une rencontre avec une radiologue, j’apprends que j’ai un kyste endométriosique sur un ovaire. Cela expliquerait, selon la médecin, mes douleurs pelviennes. Soit. Mais les douleurs partout dans le corps ?

 

Je suis donc mise par cette radiologue sur la piste de l’endométriose, et je vais faire des recherches très poussées pour en trouver les causes et des traitements possibles.

 

Pour ce qui est des autres douleurs partout dans le corps, je commence à enchaîner des rdv médicaux qui se soldent tous désespérément par la même rengaine : « vous n’avez rien, vos analyses sont parfaites ».

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Les 25 médecins et thérapeutes toutes spécialités confondues (généraliste, phlébologue, rhumatologue, médecin du sport, ostéopathe, gastro-entérologue, ophtalmologue, neurologue, ORL, gynécologue…) que je rencontre me font passer une batterie d’examens : prises de sang, radios, scanners, prélèvements qui n’aboutissent à AUCUNE réponse, à AUCUNE explication de ces douleurs partout dans le corps.

 

Je suis désespérée : je me vois mourir à petit feu, alors que je n’ai que 46 ans et que mes enfants, tout petits encore, ont besoin de moi.

Mon parcours en tant que malade (Alina Onesim)

Je passe des heures et des heures à faire des recherches sur internet, à aller sur des forums, à contacter des gens ayant témoigné de symptômes similaires aux miens et par élimination j’en arrive à retenir trois maladies possibles, correspondant à ma symptomatologie : le Lupus, la Sclérose en plaques et la maladie de Lyme.  Les deux premières sont des maladies auto-immunes que l’on soigne bien en France, mais ce sont des maladies très lourdes et handicapantes. Je demande à mon médecin généraliste de me prescrire des tests de détection de ces maladies. Je prie lors de mes nuits d’insomnie pour que ce ne soit pas ça et en même temps j’ai besoin d’un diagnostic, quel qu’il soit. Les résultats reviennent négatifs pour les 2 maladies. Il me reste à exploiter la dernière piste : la maladie de Lyme. Je suis confuse, car mes symptômes sont, tous, en lien avec ce que j’ai découvert comme symptomatologie du Lyme. Mais il y a un grand « mais » : de ce que j’apprends sur les sites officiels français, la maladie de Lyme n’est reconnue en France que sous sa forme aigüe et active. Concrètement : si vous vous êtes fait piquer par une tique, que vous développez ce qu’on appelle un « érythème migrant » (rougeur sous forme d’auréole autour du site de la piqûre) et /ou des douleurs suite à la piqûre ET que votre test sanguin Elisa, prescrit par les autorités sanitaires est positif, vous avez droit à 3 semaines d’antibiothérapie, laquelle est censée vous guérir. Or, moi, je n’ai aucun souvenir de m’être fait piquer par une tique et mon test Elisa ne revient que faiblement positif, suivi d’un test Western Blot négatif. Le centre Lyme de Villeneuve St Georges où je rencontre plusieurs médecins et je passe à nouveau un scanner et des radios me renvoie chez moi, bredouille. Je n’ai droit à aucun traitement et les 2 médecins rencontrés là-bas me disent clairement que je n’ai pas la maladie de Lyme. Je comprends d’après leurs « messes basses » que seuls les tests ELISA et Western Blot, reconnus par les autorités sanitaires françaises (mais qui ne sont pas fiables, voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog) sont des pièces à conviction. Les signes cliniques que je présente et qui recouvrent, j’apprendrai plus tard, la quasi-totalité du questionnaire de Richard Horowitz (sur lequel se basent les spécialistes de la maladie de Lyme pour aiguiller avec certitude leurs consultants vers la maladie de Lyme, voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog), ces 2 médecins s’en moquent complètement…

 

De retour chez moi je suis déterminée à continuer mes recherches. Je vais cette fois sur des sites anglophones et j’apprends que la maladie de Lyme a plusieurs stades et que moi, d’après mes symptômes, j’en suis au dernier stade de la maladie, qui s’est maintenant bien installée dans tout mon corps, a colonisé tous mes systèmes et tous mes organes.

 

J’apprends que la maladie de Lyme est bien connue et bien soignée aux Etats Unis et qu’en Europe, le seul pays qui la reconnait sous sa forme chronique est l’Allemagne.

 

Je n’ai ni l’énergie ni les moyens d’entreprendre de tels voyages et je dois trouver un moyen de me soigner en France, malgré l’omerta sur la maladie, de la part des autorités sanitaires françaises.

 

Une amie me met sur la piste d’un monsieur russe qui pratique la biorésonance à Paris et j’ai la chance de trouver un rdv rapidement. Et là, enfin, j’apprends ce dont je me doutais déjà : j’ai une borréliose avec ses co-infections : Bartonella, Babesia, Mycoplasma et également une prolifération de Chlamydia et de Candida Albican et les virus EBV et Hélicobacter Pylori réactivés par la maladie. Toutes ces infections froides et les virus, parasites et champignons présents dans mon organisme expliquent la myriade de symptômes que je connais depuis quelques mois et qui me rongent de l’intérieur.

 

La césarienne que j’avais subie pour mettre mes enfants au monde, et lors de laquelle on m’avait transfusé tout mon sang, m’avait provoqué un tel choc physique et psychologique que la borréliose et ses co-infections avaient fait surface, en profitant de la baisse de mon système immunitaire. Le déménagement en appartement avait fait empirer mon état, du fait d’une pollution électro-magnétique environnante  importante (nombreux boîtiers wifi dans le voisinage) que je n’avais pas eue en maison (voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog).

 

Comment avais-je contracté Lyme ? Etait-ce durant mon enfance suite à une piqure d’insecte alors que je gambadais dans les champs et forêts à la belle saison ? Etait-ce dû à la transfusion de plusieurs poches de sang lors de ma césarienne ?... Voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog.

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Ayant commencé à m’intéresser au monde des plantes, je suis devenue de plus en plus dubitative quant à la façon d’appréhender mes souffrances par la médecine conventionnelle. Je sentais qu’elle ne pouvait plus rien pour moi et qu’il fallait que j’explore d’autres voies.

Mon Lyme et mon endométriose : la voie des plantes (Alina Onesim)

De toute manière, ayant pris beaucoup trop d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires par le passé j’avais fini par y devenir allergique. Même la pilule contraceptive qu’on m’avait conseillée pour mettre mes ovaires au repos et soigner mon endométriose, je ne la supportais pas.

 

Il me fallait donc absolument trouver une issue ailleurs : la voie des plantes m’est apparue comme étant ma seule chance de survie et de guérison.

A force de tâtonnements, d’essais de différentes plantes sur moi-même, j’ai trouvé un protocole qui me convenait et que j’ai ajusté régulièrement jusqu’au bout. En rajoutant une plante par ci, en enlevant une autre par là.

 

En parallèle, les lectures des livres de quelques médecins et thérapeutes dans les deux domaines : endométriose et Lyme (voir Note 1), ainsi que des consultations à l’étranger et par visio-conférence, m’ont aidée à parfaire ce protocole.

 

Je commence donc à me soigner grâce à des plantes de la pharmacopée occidentale, asiatique et africaine. Trois semaines suffisent pour que je retrouve un état meilleur et l’espoir qu’un jour je recouvrerai l’ensemble des fonctions de mon corps.

 

Aujourd’hui, je suis quasi-asymptomatique et cela grâce exclusivement aux plantes. Le seul symptôme de la maladie de Lyme qui persiste encore est la chaleur, le feu intérieur. Je suis actuellement un dernier protocole afin d’éradiquer ce dernier symptôme.

 

Je n’ai plus pris aucun antibiotique, aucun anti-inflammatoire, aucun traitement chimique depuis plusieurs années. Moi, qui survivais aux douleurs de mon endométriose grâce à des quantités effarantes de paracétamol et à des anti-inflammatoires puissants, j’ai enfin trouvé un panel de plantes extrêmement efficaces pour contrer la maladie. Moi, qui à 25 ans étais incapable de passer une journée entière sans faire une sieste, tellement la fatigue me dévorait, j’ai à 49 ans une énergie que je n’ai jamais eue auparavant.

Note 1 :

  • Unlocking Lyme: Myths, Truths, and Practical Solutions for Chronic Lyme Disease by Dr. William Rawls

  • Cure Unknown: Inside the Lyme Epidemic by Pamela Weintraub

  • Lyme Disease: The Cause, the Cure, the Controversy by Alan G. Barbour and Sandra F. Hass

  • Conquering Lyme Disease: Science Bridges the Great Divide by Brian A. Fallon and Jennifer Sotsky

  • Healing Lyme Disease Coinfections by Stephen Buhner

  • Beyond Lyme Disease: Healing the Underlying Causes of Chronic Illness in People with Borreliosis and Co-Infections by Connie Strasheim

  • Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées de Dr Richard Horowitz

  • La Vérité sur la maladie de Lyme: Infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, de Dr Christian Perronne

  • The Endometriosis Sourcebook by Mary Lou Ballweg

  • Endometriosis: A Key to Healing Through Nutrition by Dian Shepperson Mills and Michael Vernon

  • Stop Endometriosis and Pelvic Pain by Andrew S. Cook and Robert Franklin

  • Living Well with Endometriosis: What Your Doctor Doesn't Tell You... That You Need to Know by Kerry-Ann Morris and Andrea Rapkin

Mon Lyme et mon endométriose : guérison par les plantes (Alina Onesim)
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Mon pacours en tant que malade (Alina Onesim)
Découverte du lien entre Lyme et endométriose

Durant le parcours pour soigner mon Lyme chronique, j’ai découvert grâce au Dr Milbert, une thérapeute que j’ai consultée en Suisse, disciple du Dr Clark (voir Note 2), que l’endométriose pouvait être causée par une co-infection de Lyme, la chlamydia trachomatis. C’est une chose peu connue, mais que Dr Clark et d’autres chercheurs ont pu démontrer dans leurs ouvrages (voir Note 3).

 

L’endométriose a gâché toutes les années de ma jeunesse et, si aujourd’hui j’en suis débarrassée, c’est grâce aux plantes et à un suivi rigoureux de mon régime  alimentaire et de mon hygiène de vie. Pour éviter que l’endométriose ne revienne, certaines plantes me sont d’une grande utilité en amont et pendant les moments cruciaux du cycle féminin.

Note 2 :

Hulda Regehr Clark était une chercheuse et une autrice dans le domaine de la médecine alternative. Elle est née en 1928 et est décédée en 2009. Elle est surtout connue pour ses théories concernant la santé, la maladie et ses approches de traitement. Ses idées n'ont pas été largement acceptées par la communauté scientifique et médicale conventionnelle. Elle a affirmé que divers parasites et toxines étaient les principales causes de nombreuses maladies, y compris le cancer, l'endométriose et la maladie de Lyme. Elle a développé une approche de traitement qu'elle appelait la "zapping" qui impliquait l'utilisation de dispositifs électroniques pour éliminer les parasites supposés.

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Note 3 :

  • Endometritis caused by Chlamydia trachomatis by P-A MARDH,* B R M0LLER,t H J INGERSELV,* E NUSSLER,*L WESTROM,§ AND P W0LNER-HANSSEN from the *Institute of Medical Microbiology, University of Lund, Sweden; the tlnstitute of Medical Microbiology, University of Aarhus, Denmark; the *Department of Obstetrics and Gynaecology, Municipal Hospital, Aarhus, Denmark; and the §Department of Obstetrics and Gynaecology, University Hospital, Lund, Sweden 1981

  • The Cure For All Diseases (1995), by Hulda Clark

  • The Cure For All Advanced Cancers (1999), by Hulda Clark

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Guérison et début d’une vocation comme thérapeute

Le combat a été long et il m’a demandé de la force et de la persévérance, mais aujourd’hui je suis guérie de l’endométriose et quasiment guérie de la maladie de Lyme. Sans avoir eu recours pour cela aux antibiotiques ou à une quelconque molécule chimique.

 

Après avoir recouvert ma santé, une évidence s’est imposée à moi, celle de ne pas oublier que :

 

  • de nombreuses personnes se font contaminer tous les ans (voir Note 4) par des insectes piqueurs porteurs de borrélias et de leurs co-infections et développent pour certains, tôt ou tard, la maladie de Lyme. Sans parler de toutes celles qui se font contaminer par transfusion sanguine et par voie sexuelle (voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog).

  • environ 1 femme sur 10 en âge de procréer est atteinte d'endométriose en France (voir Note 5).

 

Dans mon travail de recherche sur la maladie de Lyme et l’endométriose, j’ai approfondi mes connaissances concernant le lien qu’il peut y avoir entre les deux maladies et je sais que ces connaissances sont précieuses aux malades.

 

Ces malades, je le sais, car j’ai connu la même errance médicale pendant plusieurs années, sont renvoyés de médecin en médecin et certains n’ont plus le courage de se battre et finissent sous anti-dépresseurs, car on les convainc que leur problème de santé n’est finalement qu’un psychisme fragile…

 

J’ai appris lors de mes deux formations en Coaching Lyme (voir plus bas), à quel point les médecins sont démunis face à une patientèle qui arrive avec des symptômes de Lyme chronique. Démunis, oui, car le Lyme chronique n’est à ce jour pas reconnu en France et par conséquent, les personnels de santé ne sont pas formés à en reconnaître les symptômes et à les traiter.

 

Ce que les médecins apprennent c’est reconnaître un érythème migrant qui est le signe d’une borréliose aigue, laquelle se soigne très bien, si c’est fait à temps, par des antibiotiques. Mais c’est le seul cas qu’ils sont à même de traiter, et tous les autres cas de Lyme, majoritaires, passent « à la trappe ».

 

Les tests sanguins qui sont proposés par la médecine conventionnelle pour détecter la maladie de Lyme sont les tests ELISA et Western Blot et ils concernent uniquement la maladie dans sa phase première. De plus, ces tests ne sont malheureusement pas fiables (voir l'article consacré à ce sujet sur mon Blog).

 

Pour ce qui est de l’endométriose, j’ai appris grâce à ma formation en naturopathie (voir plus bas) et grâce à mes nombreuses recherches sur le sujet, des informations extrêmement intéressantes et peu connues, y compris par les professionnels de santé classique. Je suis aujourd’hui en mesure de proposer des solutions naturelles redoutablement efficaces pour soigner cette maladie.

Note 4 :

Selon les estimations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Center for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, il y a probablement plusieurs centaines de milliers à plus d'un million de cas de borréliose de Lyme signalés dans le monde chaque année. Cependant, il est important de noter que ces chiffres sont des estimations et peuvent varier en fonction des critères de déclaration et de la disponibilité des ressources pour la surveillance des maladies à tiques dans différents pays.

 

Note 5 :

Selon l'Agence nationale de santé publique française  environ 1 femme sur 10 en âge de procréer pourrait être atteinte d'endométriose en France. Cela représente environ 10 % de la population féminine en âge de procréer.

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Guérison et début d’une vocation comme thérapeute (Alina Onesim)

Il m’est apparu comme un devoir de faire quelque chose pour tous ces gens dont je connais parfaitement la souffrance : les aider à reprendre leurs vies en mains, leur donner les outils, les guider, les acheminer vers l’issue du tunnel.

 

Car oui, le Lyme chronique tout comme l’endométriose peuvent se soigner efficacement grâce aux plantes !

 

  • La façon la plus efficace de soigner le Lyme chronique est d’avoir recours aux plantes (voir encart ci-contre "Pourquoi les plantes sont les meilleures alliées en cas de Lyme chronique ?") et mon cas personnel est emblématique : tout le long de ma maladie je n’ai pris aucun antibiotique, mais seulement des plantes. Je suis en mesure de proposer un protocole personnalisé basé exclusivement sur les plantes,dans le respect du corps, en fonction du terrain de chacun, de ses points forts et de ses faiblesses.

  • Une façon très efficace de soigner l’endométriose est également la voie des plantes, selon un protocole personnalisé qui prend en considération le terrain et les différentes caractéristiques de chacune.

Vocation comme thérapeute pour le Lyme chronique et l'endométriose (Alina Onesim)
Pourquoi les plantes sont les meilleures alliées en cas de Lyme chronique ? (Alina Onesim)

Pourquoi les plantes sont les meilleures alliées en cas de Lyme chronique ?

 

Les borrelies sont des bactéries qui nécessitent des traitements antiinfectieux pour les combattre. Elles se divisent plus lentement que la plupart des autres bactéries, ce qui les rend difficiles à éliminer. En fait, elles se divisent toutes les 12 à 24 heures en laboratoire (in vitro) et toutes les 72 heures dans le corps (in vivo), ce qui est beaucoup plus lent que les autres bactéries qui se divisent toutes les 20 minutes.

 

En plus, si elles ne se sentent pas à l'aise dans leur environnement (comme en présence d'antibiotiques), elles peuvent entrer dans une forme dormante et rester sans se diviser pendant des années. Leur cycle de reproduction est également très long, avec une reproduction qui se produit généralement une fois tous les 28 jours

 

Les antibiotiques sont utilisés pour attaquer les bactéries en cours de division et de reproduction. Cependant, chez les borrelies, pour les éliminer complètement il faudrait en théorie prendre quotidiennement des antibiotiques pendant au moins un an et demi pour obtenir le même résultat que chez d'autres bactéries qui peuvent être éliminées en une ou deux semaines.

 

Mais prendre des antibiotiques pendant une si longue période peut aussi causer des problèmes de santé.

 

C’est pour cela que les plantes et produits naturels anti-infectieux sont bien supérieurs de par leurs propriétés antiseptiques plus larges que les antibiotiques qui eux, ne visent que les bactéries et pas leurs co-infections.

Ma formation

J’ai commencé à me former à ce monde des plantes en suivant une formation en herboristerie avec l’Ecole Lyonnaise de Plantes Médicinales & des Savoirs Naturels.

 

Un an et demi plus tard, je me suis vue proposer par Adam Nour, le principal thérapeute qui me suivait, une formation en Coaching Lyme. Les retours très positifs du formateur tout le long de la formation m’ont convaincue que je pouvais être à mon tour utile aux malades de Lyme.

 

Je me suis également spécialisée dans l’accompagnement de l’endométriose par le biais d’une Formation en Naturopathie avec l’organisme Spiri’Vie Formation.

 

Plus récemment, j’ai continué à me spécialiser avec une nouvelle formation "Plantes médicinales et maladie de Lyme" au Canada avec Anne Vastel.

Ma formation de naturopathe (Alina Onesim)

Le protocole que j’ai suivi pour me soigner

Pour soigner ma maladie de Lyme

Pour soigner mon Lyme, j’ai commencé par un nettoyage en profondeur de mes intestins : j’ai utilisé de l’argile et du charbon activé, en alternance.

 

Pour les douleurs au niveau de mon système digestif qui était très endommagé, j’ai utilisé avec beaucoup de succès la camomille allemande, le calendula et le plantain, ainsi que la guimauve, l’orme rouge et le lithothamne.

 

Pour désengorger mon foie et mes reins encrassés par les toxines de ma maladie et d’un environnement toxique (lequel est le lot de tout un chacun malheureusement…) j’ai alterné entre plusieurs plantes, en les utilisant en synergie car cela renforce leurs effets : la fumeterre, le romarin, le curcuma, le chardon marie ; le pissenlit, l’ortie, la verge d’or.

 

Afin de nettoyer ma lymphe, car j’avais beaucoup de ganglions enflés et douloureux au niveau du cou et de l’aine, je me suis servie de la céanothe d’amérique et du trèfle rouge.

 

Pour désenflammer mon système musculo-squelettique, le saule blanc et la reine des prés m’ont été très utiles, ainsi que la renouée du japon, les bourgeons de cassis et le curcuma synergisé avec le gingembre et le poivre.

 

Pour apaiser mon système nerveux central et périphérique qui étaient fortement impactés, j’ai utilisé le millepertuis, la mélisse, la scutellaire, le gou teng, et le gotu kola.

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Afin de réduire mes troubles cognitifs et la sensation de brouillard cérébral, m’ont été d’une grande aide le burbur/pinella, le persil, le bacopa, l’algue chlorella.

 

Ma tachycardie et mon essoufflement ont été soignés avec beaucoup de succès par l’agripaume.

 

Mes nombreuses et sévères co-infections, je les ai traitées avec des « cocktails » à base de plantes telles sida acuta, houttuynia, cryptolepis, isatis, échinacea purpurea, clou de girofle, noyer noir, feuille d’olivier, artemisia, pau d’arco, griffe du chat, andrographis, neem, propolis, extrait de pépin de pamplemousse et le lichen usnée.

 

Et enfin, mes borrélias ont été mises à mal par une très longue cure avec la cardère, la griffe du chat, l’artemisia, la samento et le banderol, en synergie avec quelques-unes des plantes citées plus haut et qui agissent sur les co-infections et les borrelias à la fois.

Le protocole que j’ai suivi pour me soigner (Alina Onesim)
Pour soigner mon endométriose

Les plantes qui m’ont énormément aidée pour contrer l’endométriose :

 

  • l’achillée millefeuille (régulateur hormonal favorisant la production de progestérone et inhibiteur de la production d’œstrogènes), le gattilier (présente les mêmes propriétés que l'achillée),

  • l’onagre (ses acides gras de type oméga-6, dont l'acide gamma-linolénique réduisent l’inflammation),

  • l'alchemille (freine les saignements et permet aussi de réguler les éventuels saignements entre les cycles),

  • le chardon marie (permet l’inactivation des œstrogènes excessifs) et l’agripaume (utilisée pour son effet spasmolytique).

J'ai soigné mon Lyme chronique et mon endométriose par les plantes (Alina Onesim)
Ma formation (Alina Onesim)
Protocole que j'ai suivi pour me soigner (Alina Onesim)
Mes atouts : pourquoi me consulter ? (Alina Onesim)

Mes atouts : pourquoi me consulter ?

Pour la maladie de Lyme

De par mon parcours de malade qui a été en errance médicale pendant plusieurs années, je connais votre souffrance de ne pas avoir été entendu, de ne pas avoir reçu une solution à vos maux. Je saurai vous écouter d’une oreille attentive et empathique, et ce que vous me direz me parlera directement. Car tout ce que vous éprouvez comme souffrance, je l’ai éprouvé aussi.

 

Par ailleurs, ayant tenté toutes sortes de protocoles et plantes sur moi-même, je saurai vous conseiller précisément la ou les plantes qui marche(ent), en fonction du système impacté ou de l’organe touché. Bien sûr, je prendrai avant tout en considération votre propre histoire et vos fragilités ou vos possibles allergies, de façon à vous fournir à la fin de la consultation, des recommandations complètement personnalisées.

 

Du fait de ma formation et de mon activité précédente d’enseignante, je suis douée d’une pédagogie qui me permet de vous faire comprendre clairement les tenants et les aboutissants de votre maladie de Lyme, de façon à ce que vous soyez acteur de votre guérison. Il est beaucoup plus aisé de suivre un protocole quand on en comprend la teneur et la finalité.

Pour l’endométriose

Mon expérience en tant que patiente ayant vécu une longue période de recherche médicale sans réponse me permet de véritablement comprendre les défis que vous avez rencontrés, la frustration de ne pas être entendue et l'absence de solutions pour soulager vos souffrances. Je m'engage à vous écouter attentivement et avec empathie, car je partage votre vécu et vos douleurs.

 

En ce qui concerne les approches naturopathiques pour soulager l'endométriose, j'ai personnellement exploré une variété de plantes, de produits et de techniques. Mon expérience me permet de vous guider de manière précise vers les options les plus appropriées, en tenant compte de votre histoire personnelle, de vos fragilités et éventuelles allergies. À la fin de la consultation, vous recevrez des recommandations entièrement personnalisées.

 

En plus de mon vécu en tant que patiente, ma formation et mon expérience en tant qu'enseignante me permettent de vous expliquer de manière claire les aspects de l'endométriose. Mon objectif est de vous donner une compréhension approfondie de votre condition, vous permettant ainsi de jouer un rôle actif dans votre processus de guérison. Lorsque vous comprenez pleinement la nature de la maladie, il devient bien plus aisé de suivre un protocole de traitement, car vous en saisissez la pertinence et les objectifs.

Consultations & Coaching 7x7 (Alina Onesim)

Consultations & Coaching 7x7

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Les consultations se font à distance (par Google Meet, Skype, tél etc.) et à mon cabinet de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

 

Première consultation

 

Une fois que vous avez réservé un créneau, je vous enverrai par email un questionnaire à compléter et à me renvoyer 24 h au plus tard avant notre première consultation. Il me permettra de saisir votre profil et vos problématiques ainsi que vos attentes, et de préparer notre première consultation.

 

Durant cette 1ère consultation, nous aurons un échange concernant votre histoire détaillée, vos antécédents familiaux, ainsi que votre mode de vie, y compris votre alimentation, votre profession, votre exercice physique, etc. Cela me permettra de mieux évaluer votre situation globale.

 

Après la séance, je vous enverrai un protocole très précis par email, comprenant des conseils personnalisés. Cela inclut des recommandations sur l'alimentation, les plantes et leur posologie, les huiles essentielles, les compléments alimentaires, la gestion psycho-émotionnelle, ainsi que des techniques naturopathiques.

 

Vous recevrez ce document le jour de la consultation ou le lendemain au plus tard, pour me permettre une rédaction approfondie de mes recommandations.

 

Consultation de suivi

Pendant la consultation de suivi, je réajusterai le protocole de base, en fonction de l’évolution de votre symptomatologie en tenant compte des progrès constatés et des difficultés que vous aurez rencontrées.

Coaching 7 jours sur 7

Pour les personnes ayant déjà consulté, je propose en complément une formule illimitée dans le temps de coaching 7 jours sur 7 : vous pouvez entre les consultations me poser des questions par email concernant le protocole recommandé.

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Vous auriez aimé poser d’autres questions  auxquelles vous n’avez pas pensé lors de la consultation ou bien de nouvelles questions vous viennent à l’esprit après la consultation ? Vous ne pouvez pas ou vous ne souhaitez pas patienter jusqu’au prochain rendez-vous ? Cette formule est à durée illimitée et vous pourrez bénéficier du solde de questions restantes pour d’autres post-consultations. Les réponses à vos questions seront denses et argumentées et vous y trouverez des informations qui vous rassureront.

Résevation Première Consultation (Alina Onesim)
Résevation Coaching 7x7 (Alina Onesim)
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Ancienne malade de Lyme chronique et d’endométriose, j’ai réussi à guérir grâce aux plantes.

Je suis naturopathe spécialiste de la maladie de Lyme et de l'endométriose.

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